dimanche 29 avril 2012

Nénette Makes Her Lemonade.




Je me suis levée de bon matin, et j'ai été émerveillée. Par le blog de Lisa, Make My Lemonade, une mine d'or en termes de travaux manuels, de poésie, d'inventivité. Bon alors je ne sais absolument plus comment j'ai atterri sur ce joli blog (j'ai la maladie du clic compulsif voyez-vous, maladie qui se révèle toutefois avoir de sacrés bons côtés comme vous pouvez le voir ici). Quoi qu'il en soit j'adore me faire des surprises de ce genre, et étant donné qu'en ce moment j'ai les doigts qui fourmillent d'envie de bricoler des jolies petites choses (en fait ce matin je voulais vous parler d'un autre DIY pour être honnête, puis le destin a mis Lisa sur ma route), je crois bien que ce billet a aujourd'hui tout à fait sa place sur ce blog (je compte d'ailleurs continuer sur cette lancée en créant une nouvelle rubrique, manuelle&Co). Make My Lemonade est rempli de chouettes tutoriels et de recettes adorables, ça a été vraiment dur de piocher un seul échantillon du talent de Lisa, mais j'ai vraiment été séduite par la délicatesse de ce head-band. Le DIY est assez long (mais facile, nous dit-elle), et j'ai simplement publié ici les étapes de fabrication d'une seule des fleurs qui ornent la coiffe, le reste il ne vous reste plus qu'à l'engloutir ICI.

Je suis aussi vraiment séduite par le côté autodidacte et la mise en images de ses créations (c'est vraiment un très joli blog).

Le blog regorge mille autres petites merveilles, et je n'ai pas pu m'empêcher de vous en publier ici quelques unes, comme cette tarte aux pommes façon bouquet (la recette ICI)...


... mais aussi ses tablettes de chocolat home-made chocolat-au-lait/meringue ou chocolat blanc/framboise (détail des recettes ICI)...


... ou encore cet incroyable gâteau d'inspiration Stelle Mc Cartney (recette ICI). 


Si je m'écoutais je vous posterai tout son blog, je vous montrerais ses couronnes en perles, ses présentoirs à cupcakes, la recette de son banana bread ou de son carrot cake... Mais je vous laisse le petit bonheur de parcourir les pages de son blog, de vous émerveiller, et qui sait d'essayer vous aussi, avec vos petites mains, de mettre un peu de magie dans votre vie! Sur-ce, je vous souhaite un excellent dimanche! Bises!


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lundi 23 avril 2012

Les Tuiles De Nénette.




Mon ordi m'a lâché les enfants. Ma vie est pire qu'une tragédie grecque, oui oui.
Le temps de me retourner, et je reviens, plus forte que jamais! :)



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vendredi 20 avril 2012

Nénette Pâlit Devant La Nuit.







Ca y est, je l'ai vu. Il était temps hein. Car c'est sincèrement un des films les plus sublimes qu'il m'ait été donné de voir. Pour le travail des costumes et des décors, certes, mais aussi pour l'expression de la fragilité des héroïnes, même si le film est très dur. Mais dieu merci il n'est surtout pas la porte grande ouverte à un déballage de chair, de scènes crues. Au contraire, il reste assez pudique, même si évidemment il n'est pas tout public. C'est beau, triste, étonnant, très travaillé et à mon avis très documenté. J'ai toujours été fascinée par l'univers des maisons closes, cette ambiance un peu glauque mais tellement secrète. Ce qui m'a le plus intéressée dans ce film, ce n'est pas réellement les relations qui unissent les belles à leurs clients, mais plutôt la révélation de leur quotidien, des journées de ces filles de la nuit, de cet entretien de la perfection qu'elles représentent. C'est un joli bijou très audacieux, et je dis un immense bravo à toutes les comédiennes qui ont pour le coup donné leur corps à leur art. Et qu'est-ce qu'elles sont belles, dans leur ennui. L'Apollonide, c'est comme un soupir, comme une bulle de champagne qui explose. Et pour couronner le tout la musique est A TOMBER. La preuve, je m'arrête de parler pour vous en faire profiter. Bises!





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lundi 16 avril 2012

( Les Petits Crushs de Nénette ) ³



Hey les mecs! 
Si je vous disais ce qui me branche en ce moment?


... dispo sur Chic Alors ! Waaaaah, elles sont pas sublimes?!

... acheté sur un coup de tête (et ça fait du bien!). Il représente en gros toutes les couleurs que j'aime porter en ce moment et que l'on retrouve d'ailleurs sur la plupart de mes nouvelles frusques printanières! J'essaierai de vous poster une vraie "mise en situation" bientôt!

Sophia Grace et Rosie! Mon dieu, elles me font HURLER de rire! Les deux petites anglaises les plus connues du moment, révélés par une vidéo où elles chantent et rappent (et le pire, c'est qu'elles le font avec beaucoup de talent) ont fait le show aux USA ces dernières semaines... Et c'est définitif, je les adore! Je peux passer des heures à regarder leurs vidéos, c'est insensé, je n'ai jamais vu des bouilles aussi rigolotes! La palme de la marrade revient à cette vidéo je crois bien!

C'est mon truc du moment! Ces petites merveilles se mangent en une bouchée! Mention spéciale au Banoffee Cake... mais que je préfère tout de même manger dans mon salon de thé bordelais préféré, très très généreux sur la crème fouettée! :D M'enfin le beau temps ne m'encourageant pas à mettre le nez dehors, je me rabats sur ces petites merveilles... Banane, caramel, biscuit croustillant... On va dire que c'est parce que c'est Pâques hein.

Et le blog du même nom... Une mine d'inspirations déco qui ferait pleurer Valérie Damidot! Bon en attendant, c'est moi que ça fait pleurer... Cette pépite a rejoint ma bibliothèque depuis quelques semaines, et c'est un  DELICE de parcourir ses pages. Le livre est en anglais, et se commande sur Amazon pour un prix plus que raisonnable... Je vous le conseille les enfants!

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vendredi 13 avril 2012

Nénette & Katelyn.



Mettre en scène des p'tits bouts, des mômes, sans virer cucul-la-praline. Pas évident. Je ne m'émeus pas facilement en regardant des photographies de bambins, aussi pures soient-elles. Je trouve que le côté angélique, ou la candeur, déjà inhérents à l'enfant, ne sont pas faciles-faciles à doser. Dur donc, de pas tomber dans le cliché un peu tarte. Il faut trouver le petit truc, le détail qui fait la différence. C'est justement ce petit truc, cette touche d'étrange, qui m'a fait tomber amoureuse du travail de Katelyn Mooney, styliste new yorkaise, spécialisée dans la mode enfants, qui fait un véritable travail d'artiste lorsqu'elle met en scène ses mini-frusques. Non mais vraiment. Je trouve ses clichés doux, intriguants, absolument délicieux. Et je vous avoue que la sélection des photos a été hyper dure à faire. D'ailleurs, je vous invite à cliquer sur le lien un peu plus haut pour vous en mettre plein les pupilles. Quand c'est beau, on ne fait pas dans la demi-mesure hein. Sur-ce, je vous abandonne. Bonne après-midi! Bises









PS: Katelyn M. se cache aussi derrière le superbe magazine Papier Mache, qu'on peut se faire livrer depuis les USA! Si c'est pas trop cool ça!

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mercredi 11 avril 2012

( Nénette Ne Survivra Pas A Etsy ) ⁷



Et bim! Un tas de jolies babioles néon/pastels, en plein dans la tendance! Non mais Etsy, c'est vraiment mon petit coin de paradis... D'ailleurs, un appartement entièrement décoré made in Etsy, ça vous ferait pas saliver? Moi si, et encore saliver est un doux euphémisme... Un petit tour sur le site, où Etsy fait le compte rendu de son dernier showroom, achèvera de vous convaincre: c'est par ICI ! En attendant, je vous laisse avec ces quelques douceurs pour les yeux... Bises!



De haut en bas:

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lundi 9 avril 2012

Nénette Patine Sur La Brume.









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dimanche 8 avril 2012

Nénette & Une Histoire de Meringue Amerindienne.





Aujourd'hui j'inaugure un tout nouveau genre de billet sur ce blog: mes inspirations mariage! Oui parce que bon, il faut que je vous avoue quelque chose, je suis de plus en plus fascinée par la célébration de cet évènement, par sa magie, par la délicatesse et l'inventivité qu'ont certains couples pour mettre en scène leur jour J. Aujourd'hui je vous montre un tout-tout-petit aperçu du magnifique reportage photos du mariage de James et Aubrey, un couple américain dont je suis les aventures familiales sur leur sublime blog Bleu Bird. C'est bien simple, il s'agit pour l'instant de mon coup de coeur absolu en matière de mariage, et je dirais même de déco en général. Le mix des inspirations (tipis, plumes et patchwork à l'amérindienne, vieux motel texan, robes vintages en dentelle) donne un résultat archi-cool, plus que parfait je dois dire. Je vous laisse découvrir les visages de James, Aubrey et de leurs trois adorables bouts de chou en ce jour merveilleux, ainsi que l'intégralité des photos sur leur blog ICI et ICI. J'adore cette ambiance simple, cool, malgré un décors hyper-hyper travaillé. Pizzas cuite au feu de bois, grillades, gâteaux à la crème... mais aussi chaises dépareillées, bouquets de roses dans des boîtes en fer blanc, verres baroques multicolores, vieilles assiettes dénichées en brocante... C'est une déco extrêmement pensée, certes, mais dans laquelle on doit se sentir divinement bien. Et qu'on peut, je crois, repenser à plus petite échelle, pour un mariage plus modeste. Ce qui me plaît d'autant plus, c'est que rien n'est vraiment orchestré, c'est juste un grand barbecue hyper beau gosse, servi sur une grande table, il n'y a pas foule, et tout le monde est à sa place. Sans compter que le DJ et le petit orchestre ont l'air tip-top. Ah je bave les enfants. Allez je vous laisse profiter en images. Bises!



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vendredi 6 avril 2012

L'Overdose de Nénette.




/!\ ATTENTION ROMAN FLEUVE /!\


{ les photos qui ponctuent l'article sont issus de Rookie Mag, le mag de Tavi! }
( une merveille de magazine soit-dit-en-passant )

En ce moment, j'ai vraiment, vraiment pas la frite les enfants. Je barbouille tout en noir, je remets tout en questions. Sûrement car ma patience a été un peu trop éprouvée ces derniers temps, sûrement parce que l'attente du verdict qui décidera de ce que sera ma vie l'année prochaine commence à se faire rude. Bof. J'ai du mal à me motiver pour quoi que ce soit, j'ai tendance à glander, ce qui est soit dit en passant une chose que je déteste. Donc en résumé je n'ai de motivation que pour pratiquer une activité qui me barbe puissance dix mille. Oui, quelle vie saine et sereine je mène hein.


Avec mon budget riquiqui de jeune glandeuse, je remets donc beaucoup de choses en questions, et notamment ma relation aux fringues. Il y a quelques semaines, alors que toutes les nouvelles collections fleurissaient en vitrines et faisaient baver les nénettes de mon espèce, j'ai senti mon addiction au shopping en ligne plus forte qu'elle ne l'avait jamais été. Peut-être était-ce un moyen de contourner l'interdiction de faire les magasins que je m'étais donnée. Vachement rusée la nénette, hein. Je passais mes temps morts (et ils furent nombreux, oui février et mars 2012 furent je crois les deux mois les plus moroses de ma vie) à remplir des paniers fictifs sur Asos, Monshowroom, à ajouter des pages à mes favoris, à zieuter les looks des blogueuses, à faire des calculs. Résultats des courses, j'ai transformé cet acte d'autosatisfaction par excellence qu'est le shopping en un embroglio de frustrations... "Si je prends ce pantalon j'explose mon budget, ah oui mais avec le code réduction je peux me permettre ce short, et puis il me faut exactement deux tee-shirts, un menthe et un jaune, une jupe imprimée et une robe à col marin... le tout pour 3,50€, bien entendu". Croyez-moi ou non les amis, mais j'ai bien senti à ce moment là que mon âme se faisait la malle. Et j'ai véritablement réalisé que les choses dérapaient lorsque je me suis retrouvée à zoner sur les e-shop de boutiques plantées bien droites à douze minutes à pied de chez nous. J'avais perdu cette joie que j'avais pourtant toujours éprouvé lorsque je m'octroyais quelques heures de shopping, cette envie d'effleurer de jolies tissus, de fouiner à droite à gauche pour repartir toute fière avec une chouette trouvaille. J'avais tout mécanisé, j'étais devenu un robot du clic, même mes sorties en ville tournaient à l'obsession, et après l'achat d'une pièce, je passais des heures à me questionner sur ce que je venais de faire, à regretter d'avoir écorché mon porte-feuille pour ça. Je crois que ces derniers mois, je n'ai jamais vraiment été hyper heureuse, d'aucun de mes achats. C'est nul hein? A trop réfléchir sa garde-robe, on perd le plaisir de s'habiller le matin (ou l'après-midi, pour les feignasses de mon genre). Je ne sais pas comment on peut en arriver là, donner une telle importance à cette enveloppe superficielle que sont les vêtements. Je crois que tout ça provient du fait que ma situation actuelle m'interdit de vraiment profiter d'eux, moi qui ai les ai toujours aimés. Et comme une gamine attirée par l'interdit (ou comme Winnie par le gros pot de miel), je flanche à ma manière. J'ai l'impression que lorsqu'on se sent un peu perdu dans sa vie, les petits riens prennent des proportions scandaleuses.


Résultat, aujourd'hui, je suis un peu dégoûtée des teintes pastels, des cols claudines, du néon, du fluo, des imprimés fleuris, des paillettes, bref de ces tendances que je connais par coeur et dont je fais une overdose. Je rêve de basiques, de jupes en jersey, de tee-shirts en cotons, de pièces simples, qui s'assemblent facilement. Et oui, même si tout ça ne sonne pas très funky, je m'éclate, car je me sens inspirée, à nouveau. J'ai mis en sourdine les tentations du net, je fais un peu les boutiques (mais pas trop), j'ai des coups de coeur qui me font frétiller. Y a du progrès.


Ces dernières semaines, j'ai compris le sens de la fameuse appellation fashion victim. Je pense que je ne suis pas la seule, je crois que c'est une frénésie qui peut toucher tout le monde, par l'intermédiaire des fringues, mais pas que. Vivre de petits jobs pendant une année, en squatteuse d'un appartement qui n'est pas le sien, se réveiller chaque matin en sachant que la journée qui se profile ne sera qu'une succession d'heures insipides, ne plus avoir de but, vivre mécaniquement dans l'attente d'un verdict... sincèrement ça n'est pas simple. J'avais jusqu'à présent réussi à garder mes sens en éveil, à cultiver mes centres d'intérêts, j'alimentais régulièrement le blog (oui plus pour moi que pour les autres, je l'avoue)... Mais alors que je suis finalement assez proche du but, je ressens comme un tsunami de ras-le-bol en moi, et une envie plus que pressante de m'approprier subitement tout ce que je n'ai pas. Fringues, voyage à Barcelone et appartement, pour vous la faire courte. Bah ça va passer me direz-vous. Je suis d'accord, et j'ai de toute façon bon espoir. Mais qu'est-ce que c'est difficile de se sentir princesse malgré tout. Enfin, cette année m'aura au moins fait réaliser à quel point les e-shops sont à consommer avec modération (c'est même de cette modération que jaillit la petite étincelle, et je vous montrerai d'ailleurs de jolies choses bientôt). Et finalement, pas si vitaux que ça (à part Etsy haaaaaaaaa! - mode hystérique réactivé - ).

Un billet un peu long, futile et inutile (admettez quand même que la série de photos dinos est à s'éclater la tête par terre!), certes, mais que j'adresse du fond du coeur à celles et ceux qui se reconnaissent un-peu-beaucoup-ou-passionnement dans tout ça, que vous soyez tristes, fauchés, dans le doute, ou complètement accro à des trucs débiles, je vous promets que mêmes les horribles choses ont une fin. Bah oui! Allez, bises!



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dimanche 1 avril 2012

Nénette & Ryan.




Vous connaissez cette manie que j'ai de voir les films 143 ans après leur sortie en salle? Ben voilà, j'ai regardé Drive la semaine dernière. Puis Crazy Stupid Love. Puis The Ides Of March. Ca y est vous avez saisi où je veux en venir? Oui-oui, 143 ans après le buzz Ryan Gosling, je me consume enfin d'amour pour lui haha. C'est fou quand même le phénomène Ryan. Parce que je l'avais déjà vu jouer, dans Love & Secrets notamment, où j'avais trouvé son physique passable (sacrilège!). J'avais tout de même noté qu'il était bon acteur, mais bon le côté blondinet aux yeux mouillés me laissait un peu de glace. Et la passion que je voyais se déchaîner autour de lui m'énervait. SAUF QUE. Sauf que depuis j'ai regardé Drive. Et les enfants, je crois que ce film est le bouton sur lequel il ne fallait pas appuyer. C'est étrange comme un rôle peut changer un acteur. Je vous assure que si vous ne l'avez pas vu, 20 minutes vous suffiront à virer hystérique et à entrer en transe. Parce que dans Drive, Ryan est CRAQUANT (et de ce fait, il le devient dans tous ses autres films, logique implacable). Malgré ses cinq phrases de texte (en deux heures, et pourtant il est le personnage principal, oui c'est fou). Je crois que c'est ça, le truc de Drive. C'est un film un peu hypnotique, la musique est sensas, l'ambiance est incroyablement pesante, l'histoire horrible il faut l'avouer (si vous n'aimez pas le sang et les gens qui meurent, forcez-vous quand même hein). Et puis il y a Ryan, la brute réfoulée par un physique d'ange et une gentillesse à tomber par terre. Et son menton un peu de traviole vous fait l'aimer encore plus. Ryan ne dit pas grand chose dans ce film, à part "hey", "yeah", ou "okay" (mon dieu ses "okay"!!! Je ne verrais plus ce petit mot ridicule de la même façon désormais). Mais c'est justement parce que Ryan est mystérieux et peu loquace qu'il y a hystérie. Bref. Ryan Gosling est mon nouveau Robert Pattinson. Je sais, un seul post en cinq jours pour vous dire ça, c'est un peu la loose. Mais bon j'assume, j'assume. A très vite les enfants. Bises!



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