mardi 27 mars 2012

Nénette & l’Émerveillement.



En ce moment, j'ai pas vraiment la tchatche hein. Je suis plutôt en mode "contemplative" dirons-nous... manière un poil détournée de vous annoncer que j'ai la cervelle qui fait son chamallow. Bof, pas grave. Parce que j'ai quand même gardé ma capacité à m'émerveiller. Et parfois l'émerveillement naît de pas grand chose. Vous avez peut-être saisi en parcourant ce blog que j'ai une forte tendance à me pâmer devant les jolies petites créations, les mignonnes choses que recèle internet, qui servent souvent à rien, qui sont parfois toute bêtes, mais sooooo cuteeeeee. Alors voilà, ma dernière trouvaille, ces petites mises en scène trop choupi et poilantes, dénichées sur Flickr, dans la galerie de fatheed. Avouez que ça rend tout nounours en chocolat hein! Sur-ce, bonne soirée les amis! Bises!





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dimanche 25 mars 2012

Nénette Always Looks Better In The Sun.



On a pris des tonnes de photos cet aprem avec Rémi et Abdou, mais vraiment, c'est celle-là que je préfère. Alors voilà, mon sac est tout débraillé et mon amoureux se retrouve injustement associé à un billet look, mais j'm'en fous, j'innove en étrennant la catégorie look + BONHEUR (bah oui, je vous disais que le soleil joue fortement sur mon humeur), jamais vue nulle part ailleurs! :D


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jeudi 22 mars 2012

Nénette Dit Coucou.



J'aurais besoin d'une bonne coupe de cheveux les enfants. J'adore les petits instants "coiffeur", bizarrement ils atterrissent toujours dans ma vie au moment où j'ai besoin d'un sacré ravalement de façade. Un de ces moments nénettiens un peu six feet under, comme il en existe tant. Parce que souvent, dans mon esprit de simplette, professionnel en connexions stupides et farfelues, je fais rimer couleur toute fraîche avec vie qui redémarre. Bref j'ai sacrément besoin de mon chocolat chatoyant et d'une frange en bonne et due forme pour relancer la machine. Et pour dire coucou à l'ami printemps qui pointe son nez, enfin pour l'instant on a simplement un millimètre de narine, étant donné qu'à Bordeaux le ciel n'est pas vraiment de super humeur en ce moment. Mais je le sens, spring is all around me ou presque, et ça les mecs, ça veut dire tout plein de choses. D'abord qu'on peut officiellement se saucissoner dans son nouveau jean corail, passer aux collants chair, sortir la veste en jean et se barbouiller le museau de lipstick fushia. Mais aussi épingler de grosses fleurs en tissus sur tous nos tops, cuisiner de belles salades toutes fraîches (hello mozzarellaaaaaa!), croquer tout plein de couleurs, se gorger de vitamines aux rayons du soleil. La semaine dernière, on a connu des journées magnifiques, et j'ai commencé à m'habituer à ces jolis rituels. C'est incroyable à quel point je me suis sentie bien, à quel point mon sourire débordait de dents. Depuis samedi, le soleil fait la tronche, le temps est merdique, je suis mal lunée. Et puis paf, lundi Toulouse s'est retrouvée ensanglantée, j'ai passé les trois jours suivants devant BFM TV à flipper et à haïr ce psychopathe, et cette histoire me mine comme aucune autre tragédie ne m'a jamais minée. Je ne sais pas vraiment pourquoi, j'ai toujours été scandaleuse en ce qui concerne mon intérêt pour l'actualité, la vie de mon pays, de ma planète. Peut-être parce que je n'ai pas vraiment l'impression d'y vivre, sur cette planète, peut-être parce que je surfe sur des guimauves quatorze mètres au dessus des têtes. Aujourd'hui, à 23 ans, la réalité me met un coup de boule. Avec ce drame d'abord, parce qu'il a effrayé ma petite soeur dans la ville rose, ma maman dans la ville rouge. Avec mes recherches effrénées de thèse, mon envie quasi irréalisable de concrétiser là tout de suite et simultanément mes rêves de restauration de tableaux / Paris / petit-copain à Paris / Louvre / appartement / argent / deuxième bouquin / baignoire sur pieds (l'option baignoire sur pied étant indiscutable hein). Je ne sais pas pourquoi je me suis fixée tout ça, généralement lorsqu'on a morflé un max pendant de longues années on ne devient pas subitement hyper exigeant avec la vie... C'est pourtant ce qui m'arrive, cette envie d'exploser le compteur du bonheur me tord les tripes, et m'engloutit carrément, en ce moment. Peut-être parce que je suis dégoûtée du monde dans lequel on s'agite. Peut-être parce qu'à défaut d'apprécier ce qui m'entoure, j'ai besoin de me créer ma bulle de savon? J'en sais fichtre rien les mecs. La seule chose dont je suis sûre, c'est que notre bon gros soleil a intérêt à rappliquer vite fait sa face. Qu'on puisse bouffer des fraises, boire de la citronnade et se vautrer dans l'herbe. Non mais.


Alors pour donner l'exemple... Si comme moi vous n'êtes qu'un bout de nénette léthargique en manque de photons (comment elle se la pète avec sa science!), voici un début de liste de petites choses à faire pour que les beaux jours débarquent...




La recette du cheesecake est sur le blog de la géniale Christelle, lien ici!
Sur-ce, bon vent!



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mardi 13 mars 2012

Nénette Allie l'Agréable à l'Agréable.



Juste pour le plaisir des yeux...

Les images proviennent de l'article "Food & Fashion", du blog Miss Moss, où vous trouverez toutes les références. Elle a récemment publié un "Food & Art", à voir aussi!! J'adore ce genre d'idées, ce type de mise en scène. Sans compter que la sélection des photos doit être un sacré boulot!

Et puis Food & Fashion, franchement...

N'est-ce pas le concept le plus cool de l'univers?




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dimanche 11 mars 2012

( Nénette x 3 ) ³



Salut les gens!
Aujourd'hui troisième version de mon triplet Télé/Ciné/Musique...


La série Kaboul Kitchen... Une création Canal + (je ne regarde plus que cette chaîne depuis quelques temps, la télé c'est vraiment plus ce que c'était...), une dizaine d'épisodes, Gilbert Melki en sexy quadragénaire (avouez qu'il a un petit côté hot! Ou je sombre définitivement dans la folie, après mon petit crush sur Joey Starr?) ... Non franchement, Kaboul Kitchen ça a été un coup de coeur inattendu, et je me suis surprise à être fidèle au poste, tous les lundi soir à 21h. L'histoire (celle d'un français qui s'en met plein les poches avec son resto/boîte pour expats mixant filles au bord de la piscine et alcool à gogo en plein Kaboul) est débile, les décors sont complètement nuls, mais le second degré est permanent, et certains personnages à mourir de rire. Alors voilà, c'est français, c'est un petit budget, et ça se passe à Kaboul, mais qu'est-ce que c'est chouette! Et la bande-son! Une tuerie! Du fond du coeur, je vous le conseille. Rien à voir, mais je profite de cet intermède séries pour clamer haut et fort combien je détesteeeee l'idylle Blair/Dan dans Gossip Girl. Alors Josh Schwartz on arrête un peu de faire des bêtises, et on nous refait palpiter les entrailles avec les amours impossibles de Blair et Chuck. Sinon Nénette ne va pas tarder à foutre le camp hein.



We need to talk about Kevin... que j'ai enfin vu. Vous remarquerez que je vois tout avec au moins un an de retard. Enfin passons. Je ne vais pas redire tout ce qui a déjà été dit sur ce film, il est juste extraordinaire, poignant, incroyablement mis en scène, et il fait mal, mal au coeur, du début jusqu'à la fin. Tilda Swinton est plus percutante que jamais, en mère malmenée par son fils, dont les différents acteurs (l'histoire est un puzzle de souvenirs, de sa naissance, jusqu'à ses 16 ans, où il va commettre l'irréparable) sont aussi terrifiants les uns que les autres. Bon franchement c'est une histoire horrible, d'autant plus pesante que les dialogues sont rares, tout se joue dans les regards, les actes, dans la compréhension du processus, qui amène de façon irréversible vers la chute, terrible. Le plus dur je crois, est d'observer ce garçon faire le mal, de le haïr dès ses cinq ans parce qu'il est juste haïssable, sans vraiment comprendre l'origine de sa noirceur. Pas vraiment de place pour une seconde chance, dans We need to talk about Kevin. Asseyez-vous bien et prenez-vous une belle claque. Je vous jure qu'on ne sent plus la même après. Et une autre parenthèse, tiens: j'ai enfin vu Intouchables, ça y est. Allez j'avoue, j'ai été un peu trop réticente sur ce coup. J'avoue aussi qu'à certains moment je me suis bien fendue la poire (la scène de l'opéra!). Mais franchement quoi! Je n'aurais jamais investi une place de ciné pour ça! Je cherche encore ce que j'ai manqué. La "petite étincelle" qui a mis le feu aux poudres. Bah non, rien. Je continue de creuser hein, je continue...



L'album The House de Katie Melua. L'avant dernier, et non pas le dernier opus Secret Symphony. Alors Katie Melua et moi, c'est une longue, longue histoire d'amour. Je la suis depuis ses débuts, je connais son deuxième album Piece by Piece sur le bout des doigts. Avec le temps, j'avoue que je n'en en ai pourtant plus fait ma priorité. Elle est divine, ses chansons sont divines, sa voix est divine, mais son univers jazzy/folk doucereux m'avait un peu endormie (même s'il reste hors du commun et que je cris alelujah lorsque je vois son succès). Je l'avais délaissée en gardant bonne conscience, en voyant qu'elle enchaînait les albums, et qu'elle cartonnait. Puis patatras, le 4ème album The House, qui se veut paraît-il différent, ne décolle pas vraiment, la promo ayant été écourtée suite à l'hospitalisation de Katie, surmenée. Je me mets donc à écouter The House (complètement à la bourre, comme d'hab donc), il est GENIAL. Un heureux mélange de cet univers jazzy qui la caractérise bien, et de sonorités électro. Fou! Je retombe amoureuse de la belle! Si je parle aujourd'hui de The House, c'est en grande partie car je viens d'écouter le nouvel opus, Secret Symphony, qui est certes de grande qualité, mais dans lequel elle a clairement renoncé à ses envies d'innovation... Vraiment dommage. Mais bon, ma Katie reste ma Katie hein.


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samedi 10 mars 2012

Nénette, Edward, Dina, Alice et Laura.






Alice au pays des abeilles
Tourne sa jupe et s'émerveille
Hélas comme à celles des tiques
La petite est allergique
Aux piqûres de fiel
Des faiseuses de miel

Un bourdonnement sourd, l'index seul est piqué
Puis la môme toute entière aussi sec trépassée
Et c'est le regard vide les quatre fers en l'air
Que la blonde s'endort et termine ce vers



Le Buvard Diabétique, Anne PEREZ (Editions Persée)________
( OUAIIIIIIS GROS )__________



Les enfants, ça y est, je me lance dans un nouveau projet, le souffle un peu court. L'IDEE, je l'ai eu en lisant Edward Gorey, en m'extasiant devant l'expo Fallen Princesses de Dina Goldstein (dont j'ai d'ailleurs déjà parlé sur ce blog), en découvrant les crayonnés de Laura Laine, illustratrice de mode. Il n'y a pas vraiment eu de déclic, juste un nuage d'idées qui se sont peu à peu assemblées dans ma petite tête. L'Alice de mon Buvard Diabétique, mon texte le plus court mais probablement celui dont je suis le plus fière, qui correspond vraiment à ce vers quoi je veux aller... ce dessin de Laura Laine avec qui il s'associe si bien... les 26 bambins assassinés qui constituent l'abécédaire poético-morbide illustré d'Edward Gorey. Voilà, j'ai envie de dessins, de poèmes, de glauque, d'héroïnes déchues. Depuis juillet je n'ai rien écrit qui vaille la peine d'être lu, probablement parce que je ne suis pas une écrivain, mais simplement une fille qui a été inspirée, à un moment de sa vie. L'inspiration renaît en ce moment, je la touche du bout des doigts, mais je crois que le chemin va être long, très long. J'ai commandé du Gorey en-veux-tu-en-voilà sur Amazon, je vous conseille de faire de même, si vous aimez les contes qui se finissent mal, à la Tim Burton. Maintenant je vais juste essayer d'assembler les morceaux du puzzle. C'est marrant, ce matin j'ai regardé L'Agence, un film un peu nullos mais dont le message est le suivant: nous évoluons dans un monde où tout est orchestré par une bande de types en costume noir, qui font en sorte que vous renversiez votre café à un instant précis, que vous ratiez votre rendez-vous, que vous épousiez la bonne personne, pour respecter la bonne marche du monde, et le plan qui a été défini dans un intérêt commun. Si ça se trouve, et si on suit cette logique, il y a vraiment un type qui a fait en sorte qu'en mars 2012 je décide de zigouiller des princesses, en alexandrins. Bah dites donc si c'est le cas, je crois qu'on a du souci à se faire pour notre bonne vieille planète les mecs. Sur-ce, je m'en retourne à mes tâches d'hémoglobine. Bises!


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jeudi 8 mars 2012

( Nénette & Soko ) ²



07/03/12 à la Rock School Barbey! J'y étais! Finalement! Réservation faite à l'arrache au dernier moment, course effrénée rue Sainte Catherine pour récupérer les billets à la Fnac... avant même d'y être, ce concert résonnait déjà dans mes tripes! Voici quelques photos de la scène, à tout juste deux mètres de nous! Ouhouh!


Luke Rathborne, première partie & musicien de Soko

Maxime Sokolinski, le petit frère de Soko, qui l'accompagne sur scène

Soko so cute!

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A l'heure où j'écris ces mots j'ai l'album "I thought I was an alien" dans les oreilles, et il résonne désormais vraiment différemment... Ce petit concert, dans cette salle minuscule, c'était une expérience tout à fait inédite pour moi. Soko fait partie de cette nouvelle vague de chanteurs minimalistes, anticonformistes. Pas de discours superflus, de cris, elle sourie rarement. Elle arrive, toute blanche, et chante pour elle, comme elle chanterait dans son salon, habillée comme une patate, les cheveux en vrac, les yeux rouges. Elle se plaint de ses nouvelles Doc Martens, qu'on lui a offertes la veille, et qui lui font mal aux pieds. Elle cligne des yeux, avec cette mine boudeuse qu'on lui connaît, nous conseille de nous asseoir par terre, ce qu'on fait tous, et le concert prend une autre dimension, comme une sorte de veillée nocturne. A la fin de certains morceaux, elle lâche un merci du bout du lèvre, presque chuchoté. Et les trois musiciens sur scène avec elle miment ce comportement pas vraiment commun. Regards dans le vide, mutisme presque inquiétant. Par contre les garçons sont hyper lookés et euh... plutôt agréables à regarder haha. Mais bon, eux aussi n'ont pas le sourire facile. Luke Rathborne, qui fait aussi l'excellente première partie du concert, ne nous adresse pas un mot, il chante, bien droit, le regard au dessus de nous. Un espèce de Paolo Nutini autiste haha. Bon, évidemment, je ne peux pas m'empêcher de penser que cette attitude reste néanmoins très étudiée. Mais ils me touchent, ces petits jeunes, à essayer d'imposer leur vision du concert. Il y a les instruments, les voix, la musique, point. Pas besoin d'en faire plus. C'était vraiment top. Comme une parenthèse un peu mélancolique. Soko est bordelaise, sa famille est dans la salle, et on ressent que c'est un concert un peu particulier pour elle. Le seul bémol, c'est le fait que Soko chante peut-être un peu trop pour elle. Elle nous prévient qu'ils ne sont pas le genre de groupe à faire des rappels, ne chante (délibérément) pas son tube I kill her, que tout le monde attendait. Cet album génial, elle a mis cinq ans à le faire, a entre temps pensé à arrêter la musique (merci Dieu elle n'a pas fait ça!)... Peut-être un peu pestouille sur les bords, la Soko? Je ne sais pas trop. En tout cas j'ai aimé son mystère, sa voix géniale, ses musiciens en slims (mention spéciale à son grand dadais MEGA looké de frère, ohlala!). Je vous la conseille, la Stephanie Sokolinski! Sur-ce, bonne journée petits aliens!




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mercredi 7 mars 2012

( Nénette Ne Survivra Pas A Etsy ) ⁶



Mercredi, qui rime avec Etsy. D'ailleurs, que vois-je? Pas un mot ici sur Etsy, de tout le mois de février! C'est honteux, oui honteux! Je me rattrape aujourd'hui avec un petit billet tout spécialement dédié à ma nouvelle lubie: les colliers tricotés! Ou de façon plus générale, l'alliance magique métal/brins de laine. Avec tout plein de couleurs, of course! Célébrons le printemps tout proche comme il se doit! Je vous laisse avec une jolie sélection. Inspirante je l'espère! Bises!




De haut en bas:

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mardi 6 mars 2012

Mother, Nénette Is Coming Home!







Pumpkin Pie,__ 
Chocolate Candy__
& Jesus Christ__






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dimanche 4 mars 2012

Nénette Eclair.



Coucou c'est moi! :)

Un petit passage en 4ème vitesse pour vous montrer un petit bout de ma rencontre hier à Bordeaux avec Tokyobanhbao, une illustratrice dont je suis le blog avec beaucoup d'assiduité! C'est une personne incroyablement gentille, et avenante, ce qui est un paramètre très important pour les grandes timides dans mon genre...! Fin 2011, lorsque j'ai tant bien que mal mis en place une petite promo du Buvard Diabétique (du 100% fait-maison :D), j'ai décidé de faire parvenir quelques exemplaires à des blogueuses que j'apprécie, et que je lis régulièrement. Parce que c'est vrai que mon petit bout de livre s'adresse plutôt à un public féminin, jeune, enfin bref à des nanas de mon genre (si vous êtes un garçon et que vous avez aimé mon livre, ne prenez pas ça pour une offense hein). Bref. Tokyobanhbao avait à l'époque accepté de se prêter au jeu, et avait vraiment été adorable. Voilà pourquoi je me suis précipitée hier à la Fnac, pour acheter le tome II de sa géniale petite BD qui met en scène son personnage Tokyobibi, et le faire dédicacer. Le résultat? Ma bouille en version manga, croqué en deux petites minutes, et un super joli moment.




Sur ce je file (j'essaie de revenir vite, promis). Bises!



Les infos sur Globe-Trotteuses (en outre le planning des séances de dédicaces):

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